Pas d'âge limite pour étudier ! Ceux qui ont plus de la trentaine sont, de nos jours, plus nombreux à vouloir disposer de nouvelles expériences professionnelles et obtenir un diplôme. Que l'on parle de formation continue adultes, par courrier, cours du soir, ou bien DIF ; les options sont multiples.
Que votre chef ou une organisation privée se charge des frais, la formation professionnelle est un acquis qui concerne la majorité des salariés durant leur vie professionnelle. Dans un univers qui évolue constamment, elle domine tel un levier d'entrée, de maintien, mais aussi de retour au travail. Ce processus permet de ce fait de se remettre à niveau tout en ayant du travail. Un contrat de formation professionnelle est établi. La collaboration des employés à ce programme est, de plus, primordiale. De multiples réformes ont permis d'accommoder le forfait dédié aux adultes aux divers changements économiques et sociales et aux sociétés. La plupart des facultés ou d'instituts tels que les écoles de commerce partagent des modules particuliers pour les salariés. Ils déclinent ainsi des forfaits courts, proposent des stages de formation professionnelle sur-mesure pour les sociétés, intègrent les travailleurs à leurs plans de formation MBA ou MS entre autres. Il existe également le DIF ou Droit Individuel de Formation tout salarié en contrat à durée indéterminé disposant d'au minimum une année d'ancienneté dans la société de se constituer un crédit d'heures d'initiation, il peut s'en servir ou pas, selon sa volonté. Tous les ans, le salarié gagne 20 heures de formation continue adultes, qu'il pourra réunir durant 6 ans ; au maximum, 120 heures. Si cette activité est réalisée hors du travail, le financement est à la charge de la société. On rencontre une panoplie de formations que l'on peut financer grâce au DIF. Pour en profiter, il est primordial de faire une requête écrite à son patron en expliquant la formation que le salarié à l'intention d'employer par son DIF. La validation ou non dépend de l'employeur. Quant au congé individuel de formation professionnelle continue, il accorde à tout salarié, au cours de sa carrière, de bénéficier d'un congé qui va lui permettre de disposer d'une nouvelle spécialisation ou de planifier un diplôme. Cette durée doit être agréée par l'employeur, mais à l'opposé du DIF, n'est pas à la charge de l'établissement. Il est utile de dresser une demande au niveau d'une institution paritaire homologuée par l'État tel que le Fongécif ou l'Opacif. Le salarié jouira d'une indemnisation minimale de 80 % de son salaire et d'un financement partiel de sa formation.